Véhicules d'assistance Rallye

Le Citroën C35 construit à partir de 1973 a fait entrer les fourgons dans l’ère moderne. D’un poids total en charge de 3,5 tonnes, ce Série II (C35 R avec nouveau tableau de bord) peut disposer d’un moteur diesel 2,5 L de 69 ch DIN.

Le SG2 (Super Goélette) est un petit utilitaire construit par Saviem avec une technique poids-lourds. Produit en France de 1965 à 1982, il a fi ni sa carrière sous la marque Renault.

Née en 1959 en 850cm3, l'Estafette est un fourgon «tout à l'avant» qui bénéfi cie en 1962 du moteur 1108 cm3 de la R8, puis en 1969 du 1289 cm3 de la R12. En 1965, l'Estafette est allongée de 35cm. En tant que véhicule d'assistance des rallyes, elle est le plus souvent améliorée, avec parfois un vrai moteur de R8 Gordini sous le capot!

La 504 break réalise un tour de force : être un excellent utilitaire de grand volume avec le break, mais aussi une bête de compétition avec des victoires en rallye-raid. En somme l'engin idéal pour une assistance rapide.

Même entièrement chargé, le fourgon 508D de Mercedes ne montre aucune faiblesse au détriment d’une vitesse de pointe plutôt modeste. Il a été utilisé par l’écurie Alméras Frères pendant trois saisons consécutives de 1980 à 1982.

Depuis sa sortie en 1994, le fourgon Citroën Jumper n’a que peu évolué jusqu’en 2002, année durant laquelle il a connu d’importantes modifi cations. Il était disponible en plusieurs versions, essence ou diesel.

Entre véhicule léger (VL) et poids lourd (PL), les Mercedes 609D sont déclinés en plusieurs gabarits afin de répondre aux différentes demandes professionnelles.

Premier gros utilitaire de la marque, le Volkswagen LT, très apprécié en Allemagne, a été produit de juin 1975 à décembre 1995 dans sa première version LT-I. L’appellation LT-28 à LT-50 indique le poids total autorisé en charge.

Les fourgons Master de Renault sont réputés solides et disposent d’un espace de chargement optimisé, mais montrent une faiblesse par un petit rayon de braquage et une faible garde au sol à cause de la boîte de vitesses.

Fruit d’un partenariat entre Fiat et PSA (Peugeot Société Anonyme) et produit jusqu’en 1981, le Fiat Ducato a été choisi par l’écurie Lancia Martini comme par des milliers d’artisans italiens. Cette première génération n’a jamais pénétré le marché français.

Avec leur suspension hydropneumatique, les breaks de Citroën offrent à la fois un poids de chargement important et une vélocité très utiles pour une utilisation d’assistance rapide quel que soit l’état de la route.

En 1980, l’Estafette laisse la place à la première génération de Master, un vrai fourgon de grand volume. En 1997, le Master II comble le déficit de puissance de son devancier, en particulier grâce à un moteur 2,5 dCi 120 ch.

Jusqu’à la Renault 16, le constructeur ne proposait que des voitures de petites tailles, l’éphémère Frégate exceptée. En 1965, la Régie Nationale se rattrape en présentant une berline moderne, vaste et lumineuse.

Immense succès commercial, le Fiat 242E a été di usé dans toute l’Europe excepté en France. En raison d’accords commerciaux, son clone le Citroën C35 était alors réservé au marché hexagonal.

Après un lancement en 1980, la production du Renault Master I s’arrête en 1997. C’est un fourgon tracté à ne pas confondre avec la Gamme B à roues arrière motrices qui adopte la cabine du Master.

Le Ford Transit seconde génération (MK2) apparaît en 1978. Les modèles britanniques possèdent des pièces spécifiques comme le moteur. La visserie et les roulements sont mesurés à l'anglaise.

En 1975 Renault impose un nouveau concept, celui de la berline bourgeoise à tendance utilitaire. En effet, les nouvelles R30 et R20 peuvent presque se transformer en utilitaire grâce à leur hayon arrière.

Apparue en 1986, la deuxième génération des Mercedes T2 a trouvé dans le 609D, qui remplaça le 508D, un utilitaire endurant pouvant être chargé sans diminuer ses performances.

Depuis plus de 40 ans, le Renault Trafic a fait preuve de ses nombreuses qualités. Celui qui nous occupe aujourd’hui fait partie de la première génération, celle qui a fait entrer les fourgons Renault dans la modernité.

Avec leur entraînement par traction, les SB2 ont un seuil de chargement plus bas que celui des SG2 grâce à l’absence d’arbre de transmission. D’abord estampillés Renault puis arborant le logo Saviem, ils étaient disponibles en version essence et diesel.

La 911 SC grand public de 180 chevaux diffusée dès 1978 ne doit pas être confondue avec la SC RS Groupe B sortie en 1984 et développant 75 chevaux de plus.

Conçu à l’origine comme camion militaire, Iveco décline une gamme de 4x4 pour un usage civil. À défaut d’être rapide, l’Iveco permettait de parcourir tous types de routes.

Le T2 de Mercedes dans sa version 814D a essentiellement été diffusé dans l’Europe germanique continentale. Très bien équipé, il peut transporter de lourdes charges mais pêche par son manque de puissance même pour un petit poids lourd.

Fruit de la collaboration Citroën-Fiat, le fourgon C35 (242 chez Fiat) est très moderne à sa sortie en 1975 avec sa ligne privilégiant les surfaces vitrées, son freinage intégral à disques, son excellente tenue de route et ses performances de haut niveau.

Disponible en plusieurs tailles (empattement long ou court, hauteur standard ou surélevé), le Ford Transit fourgon a été produit à partir de 1965. Ce modèle date de 1982.

En version essence comme diesel, le Peugeot J7 fait partie de ces increvables mis à toutes les sauces, s’accommodant de tous les traitements. De 1965 à 1980, il est un incontournable des rues et des routes de France.

Le châssis et le moteur de la Fiat 131 Panorama n’ont rien en commun avec la 131 Abarth de course. Toutefois les modèles grand public, berlines ou breaks ont des qualités reconnues par beaucoup.

Produit en 1964 afin de contrer Peugeot et sa 404, Simca ne propose ses breaks 1500 qu’en version essence. À partir de 1967, le modèle 1501 commence à être utilisé avec un moteur plus puissant et une finition moins basique.

Aussi à l’aise en ville que sur les pistes africaines, le fourgon Saviem SG2 pouvait servir aux commerçants, artisans et même pour les écuries de course de l’époque.

À la fin de l’année 1969, Opel concurrence les Ford Transit en Europe. Assemblés à Luton en Angleterre,

De multiples versions du LT 35 de Volkswagen étaient proposées : cabine simple ou double, camping-car, en fourgon vitré ou comme ici en fourgon tôlé. Des moteurs turbo-diesel et essence 6-cylindres sont disponibles à partir de 1983.